• Cramazouk Hu Premier
    Cramazouk Hu Premier
    2015-09-30

    "Le communisme est nécessairement libertaire. Anarchiste."

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  • Jean Baltazar
    Jean Baltazar
    2015-09-30

    Je ne suis pas d'accord, le communisme est nécessairement marxiste.
    - être communiste, c'est œuvrer à libérer l'humanité de toute exploitation, oppression.
    - être communiste, c'est travailler au renversement du capitalisme, pour que se construise une autre société, le socialisme, où la démocratie sera l'émanation du pouvoir conquis par la classe ouvrière et ses alliés.
    - être communiste, c'est agir pour que ses droits et libertés soient effectifs et pérennes, répondant aux aspirations du plus grand nombre : la bataille pour la démocratie et les libertés démocratiques est indissociable de l'engagement militant pour la révolution socialiste.

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  • Cramazouk Hu Premier
    Cramazouk Hu Premier
    2015-09-30

    D'accord, mais en quoi est-ce différent de du communisme libertaire ? La seule différence est que l’Étatisme (capitalisme d’État) parait une étape possible avant la révolution pour ceux qui étaient les Marxistes Léninistes. Le communisme libertaire est toujours marxiste puisque le marxisme est sa grille de lecture du monde, non ?

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  • Jean Baltazar
    Jean Baltazar
    2015-10-01

    Ma remarque concerne l'anarchisme. En effet, le marxisme et l'anarchisme reposent sur des principes tout à fait divergents. La pierre angulaire de l'anarchisme est l’individu, dont l'affranchissement est, selon lui, la condition principale de l'affranchissement de la masse, de la collectivité. Selon l'anarchisme, l'affranchissement de la masse est impossible tant que l'individu ne sera pas affranchi, d'où son mot d'ordre: « Tout pour l'individu ». Tandis que la pierre angulaire du marxisme, c'est la masse, dont l'affranchissement est, selon lui, la condition principale de l'affranchissement de l'individu. C'est-à-dire que, selon le marxisme, l'individu ne peut être affranchi tant que la masse ne le sera pas, d'où son mot d'ordre : « Tout pour la masse ».
    Il est évident que nous nous trouvons ici en présence de deux principes qui se nient l'un l'autre, et non de simples divergences tactiques.

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  • Cramazouk Hu Premier
    Cramazouk Hu Premier
    2015-10-01

    Mouaiiiiis. En pratique, le communisme libertaire fait concrètement l'amalgame des deux. De la liberté de l'individu dépend la liberté collective, toutes garanties par la coopération et l'empathie. L'anarchisme ne sera jamais un individualisme tel que celui du capitalisme. L'individualisme anarchiste est celui de l'empathie, comme décrit par Kropotkine dans La Morale Anarchiste.

    Je ne vois aucune divergence, tout ça est complémentaire et logique et se traduit dans les actes et l'organisation politique.

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  • Cramazouk Hu Premier
    Cramazouk Hu Premier
    2015-10-01

    Le “libéralisme” est en revanche la réalisation concrète d’un capitalisme basé sur l’individu roi, où la contrainte légale est écartée à tout prix, garantissant la possibilité de la compétition et de la guerre totale entre les individus pour la domination. Ce que certains osent appeler anarcho-capitalisme, un contresens total.

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  • Cramazouk Hu Premier
    Cramazouk Hu Premier
    2015-10-01

    Ce dont tu parles est un communisme étatiste, ni plus ni moins le marxisme léninisme. Ce que veut dire Emma Goldman, c'est que cette logique de soumission à la collectivité et donc d'autorité est contraire à l'esprit socialiste - et c'est évident en pratique.

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  • Jean Baltazar
    Jean Baltazar
    2015-10-04

    J’ai bien compris, mais je suis désolé cher camarade, intellectuellement je ne peux pas être d’accord avec cette idée dont les racines se trouvent dans la propagande antisoviétique de la bourgeoisie. Aujourd’hui les communistes ne doivent pas ignorer la nature de classe de l’état bourgeois. A chaque fois qu’il y a eu des avancées progressistes, n’importe où dans le monde, la bourgeoisie n’a jamais hésité de les noyer dans le sang.

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  • Jean Baltazar
    Jean Baltazar
    2015-10-04

    Il en résulte qu'au Pouvoir Spécial de Répression exercé contre le prolétariat par la bourgeoisie, contre des millions de travailleurs par une poignée de riches, doit se substituer un "pouvoir spécial de répression" exercé contre la bourgeoisie par le prolétariat (la dictature du prolétariat). C'est en cela que consiste la "suppression de l'Etat en tant qu'Etat". Et c'est en cela que consiste l'"acte" de prise de possession des moyens de production au nom de la société.

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  • Cramazouk Hu Premier
    Cramazouk Hu Premier
    2015-10-04

    D’accord, ça revient à mettre en places les institutions nécessaires avec dans leur fonctionnement même toutes les mesures nécessaires à leur contrôle par le prolétariat et le rapport de force constant indiquant que la révolution n’amène à aucun état “définitif” de la société.

    Dans ce cas pour cette petite bataille sémantique je dirais que le communisme libertaire serait le modèle de société recherché et que l’anarchie est quelque chose qui s’adresse à l’individu et qui permet d’aboutir éventuellement à ce type de société mais qui ne le “rangera” jamais à son service, puisque c’est cette attitude anarchiste qui maintient le rapport de force et le progrès social.

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  • Jean Baltazar
    Jean Baltazar
    2015-10-05

    C'est très beau tout ça, mais la réalité sera tout autre. Prenons l'épisode de La Commune, qui était essentiellement un gouvernement de la classe ouvrière, le résultat de la lutte de la classe des producteurs contre la classe des appropriateurs, la forme politique enfin trouvée qui permettait de réaliser l'émancipation économique du travail. La classe ouvrière de Paris, n'ayant pas de parti à elle qui l'aurait guidée et eût réalisé sa dictature, a commis des fautes nombreuses. Seul Lénine a rétabli et développé la doctrine de Marx sur l'Etat en découvrant, d'après l'expérience de la Commune de Paris et de la Révolution de 1905, que les Soviets étaient la forme internationale de la dictature du prolétariat.

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  • Cramazouk Hu Premier
    Cramazouk Hu Premier
    2015-10-06

    C'est sans doute le moins bon passage de ce chouette dialogue écrit par Malatesta :
    "JACQUES. — Je comprends ; mais puisque nous sommes ensemble, je voudrais te demander encore quelques explications avant de nous quitter. J'entends souvent parler de communistes,de socialistes,d'internationalistes,de collectivistes,d'anarchistes,que signifient tous ces noms ?

    PIERRE. — Ah ! justement, vous faites bien de me demander cela, parce qu'il n'y a rien de tel que de s'entendre sur la valeur des mots.
    Donc, vous devez savoir que les socialistes sont ceux qui croient que la misère est la cause première de tous les maux sociaux et que, tant qu'on ne détruira pas la misère, on ne pourra extirper ni l'ignorance, ni l'esclavage, ni l'inégalité politique, ni la prostitution, ni aucun des maux qui maintiennent le peuple dans une horrible situation, et qui pourtant ne sont rien en regard des souffrances venant directement de la misère elle-même. Les socialistes croient que la misère dépend du fait que la terre et toutes les matières premières, les machines et tous les instruments de travail appartiennent à un petit nombre d'individus qui disposent ainsi de la vie de toute la classe ouvrière et se trouvent en lutte continuelle et en concurrence, non seulement avec les prolétaires,c'est-à-dire ceux qui n'ont rien, mais encore entre eux, pour la possession de la propriété. Les socialistes croient qu'en abolissant la propriété individuelle, c'est-à-dire la cause, on abolira du même coup la misère qui en est l'effet. Et cette propriété peut et doit être abolie, parce que l'organisation et la distribution de la richesse doivent se faire suivant l'intérêt actuel des hommes, sans égard pour les droits, soi-disant acquis, que les bourgeois s'arrogent maintenant parce que leurs aïeux furent plus forts, ou plus heureux, ou plus canailles que les autres.
    Donc, vous le voyez, le nom de socialistesdésigne ceux qui veulent que la richesse sociale serve à tous les hommes et qu'il n'y ait plus ni propriétaires ni prolétaires, ni riches ni pauvres, ni patrons ni employés.
    Il y a quelques années, on le comprenait ainsi et il suffisait de se dire socialistes pour être haï et poursuivi par les bourgeois qui auraient préféré cent fois voir un million d'assassins qu'un seul socialiste. Mais quand les bourgeois virent sue, malgré toutes leurs persécutions et leurs calomnies, le socialisme faisait son chemin, que le peuple commençait à ouvrir les yeux, alors ils pensèrent qu'il fallait chercher à embrouiller la question pour pouvoir mieux tromper les gens, et beaucoup d'entre eux commencèrent à dire qu'eux aussi étaient socialistes, parce qu'ils voulaient le bien du peuple et pensaient à détruire ou à diminuerla misère. Autrefois donc, ils disaient que la question sociale, c'est-à-dire la question de la misère, n'existait pas ; aujourd'hui, au contraire, que le socialisme leur fait peur, ils affirment que tout homme qui étudie la question dite sociale est lui aussi un socialiste, comme si on pouvait appeler médecin celui qui étudie une maladie dans l'intention, non de la guérir, mais bien de la faire durer.
    C'est ainsi qu'aujourd'hui vous trouvez des personnes qui se disent socialistes, parmi les républicains, parmi les royalistes, parmi les cléricaux, parmi les magistrats, partout enfin, mais leur socialisme consiste à se faire nommer députés, à force de promesses qu'ils seraient incapables de tenir.
    Aussi, voyez-vous, quand un homme vous dira qu'il est socialiste, demandez-lui s'il veut abolir la propriété individuelle et mettre les biens en commun. Si oui, embrassez-le comme un frère ; si non, défiez-vous de lui, c'est un ennemi.

    JACQUES. — Donc tu es socialiste ; cela, je le comprends. Mais que veulent dire les mots communisteet collectiviste?

    PIERRE. — Les communistes et les collectivistes sont les uns et les autres des socialistes, mais ils ont des idées différentes sur ce qu'on devra faire après que la propriété aura été mise en commun.
    Les collectivistes disent que chaque travailleur, ou mieux chaque association de travailleurs a droit à la matière première et aux instruments de travail, et que chacun est maître du produit de son travail. Tant qu'il vit, il en fait ce qu'il veut ; quand il meurt, ce qu'il a mis de côté retourne à l'association. Ses enfants ont, eux aussi, les moyens de travailler et de jouir du fruit de leur travail, mais les laisser hériter serait un premier pas fait vers l'inégalité et le privilège. En ce qui concerne l'instruction, l'éducation des enfants, l'entretien des vieillards et des infirmes et l'ensemble des services publics, chaque association de travailleurs donnerait tout ce qu'il faudrait pour suppléer ce qui pourrait manquer aux membres de la communauté.
    Les communistes, eux, disent ceci : Puisque, pour que tout aille bien, il faut que les hommes s'aiment et se considèrent comme membres d'une même famille ; puisque la propriété doit être mise en commun ; puisque le travail, pour être productif et accompli au moyen des machines, doit être fait par de grandes réunions d'ouvriers ; puisque, pour profiter de toutes les variétés du sol et des conditions atmosphériques et faire que chaque région produise ce qui lui convient le mieux, et puisque, pour éviter, d'autre part, la concurrence et les haines entre les divers pays, il est nécessaire d'établir une solidarité parfaite entre les hommes du monde entier ; faisons une chose : au lieu de risquer de confondre ce que vous avez fait avec ce que j'ai fait, travaillons tous et mettons tout en commun ; ainsi chacun donnera à la société tout ce que ses forces lui permettront de donner jusqu'à ce qu'il y ait assez de produits pour tous ; et chacun prendra tout ce qu'il lui faudra, en limitant ses besoins seulement dans les choses qu'on ne possède pas encore en abondance.

    JACQUES. — Pas si vite ; d'abord explique-moi ce que signifie le mot solidarité.En effet, tu m'as dit qu'il doit y avoir solidaritéentre les hommes, et, à vrai dire, je ne t'ai pas bien compris.

    PIERRE. — Voici : dans votre famille, par exemple, tout ce que vous gagnez, vous et vos frères, votre femme et vos fils, vous le mettez en commun ; puis vous faites la soupe et vous mangez tous ensemble, et s'il n'y en a pas assez, vous vous serrez tous un peu le ventre. Maintenant, si l'un de vous a plus de chance, s'il trouve à gagner un peu plus, c'est un bien pour tous ; si au contraire un reste sans travail ou tombe malade, c'est un malheur pour tous, car certainement, parmi vous, celui qui ne travaille pas mange cependant à la table commune et celui qui tombe malade est en outre cause de dépenses plus grandes. C'est ainsi que, dans votre famille, au lieu de chercher à vous enlever le travail et le pain l'un l'autre, vous cherchez à vous entr'aider, parce que le bien de l'un est le bien de tous, comme le mal de l'un est aussi le mal de tous. ainsi s'éloignent la haine et l'envie, ainsi se développe cette affection réciproque qui n'existe jamais au contraire dans une famille dont les intérêts sont divisés.
    C'est là ce qu'on appelle solidarité; il faut donc établir entre les hommes le même rapport que ceux qui existent entre les membres d'une famille bien unie.

    JACQUES. — J'ai compris. Mais revenons à la question de tout à l'heure. Dis-moi, es-tu collectivisteou communiste?

    PIERRE. — Quant à moi, je suis communiste parce qu'il me semble que si l'on doit être amis, on ne doit pas l'être à moitié. Le collectivisme laisse encore subsister des germes de rivalité et de haine. Mais je vais plus loin. Alors même que chacun pourrait vivre avec ce qu'il a produit lui-même, le collectivismeserait toujours inférieur au communisme,parce qu'il tiendrait les hommes isolés et diminuerait ainsi leurs forces et leur sympathie. D'ailleurs, comme le cordonnier ne peut manger ses chaussures ni le forgeron se nourrir de fer ; comme l'agriculteur ne peut lui non plus cultiver la terre sans les ouvriers qui préparent le fer, fabriquent les instruments, et ainsi de suite, il serait donc nécessaire d'organiser un échange entre les divers producteurs, en tenant compte à chacun de ce qu'il a fait. Alors, il arriverait nécessairement que le cordonnier, par exemple, chercherait à donner une plus grande valeur à ses souliers et voudrait avoir en échange le plus d'argent possible ; de son côté, le paysan voudrait lui en donner le moins possible. Comment diable s'arranger avec cela ? Le collectivisme, en somme, me paraît donner lieu à une quantité de problèmes très difficiles à résoudre et, avec ce système, les choses s'embrouilleraient facilement.
    Le communisme,au contraire, ne donne lieu à aucune difficulté : tous travaillent et tous jouissent du travail de tous. Il s'agit seulement de voir quelles sont les choses dont on a besoin, afin que tous soient satisfaits, et de faire en sorte que toutes ces choses soient produites en abondance.

    JACQUES. — Ainsi, avec le communisme,il n'y aurait plus besoin d'argent ?

    PIERRE. — Ni d'argent, ni d'autre chose qui en tienne lieu. rien qu'un registre des objets nécessaires et des produits pour chercher à tenir toujours la production à la hauteur des besoins.
    La seule difficulté sérieuse serait que beaucoup d'hommes ne voulussent pas travailler, mais je vous ai déjà dit les rasions pour lesquelles le travail, qui est aujourd'hui une peine si lourde, deviendra un plaisir et en même temps une obligation morale à laquelle bien peu d'individus pourraient vouloir se soustraire. D'ailleurs, si, par le fait de la mauvaise éducation que nous avons reçue, il se trouve au début de la nouvelle société des hommes qui refusent de travailler, on en sera quitte pour les laisser en dehors de la communauté, en leur donnant la matière première et les outils. Ainsi, s'ils veulent manger, ils se mettront au travail. Mais vous verrez que ces cas ne se produiront pas.
    Du reste, ce que nous voulons réaliser pour le moment, c'est la mise en commun du sol, de la matière première, des instruments de travail, des maisons et de toutes les richesses existantes. Quant au mode d'organisation, le peuple fera ce qu'il voudra. C'est seulement à la pratique qu'on pourra voir quel est le meilleur système. ainsi, on peut prévoir que dans bien des endroits, on établira le communisme, ailleurs le collectivisme ; quand on les aura vus l'un et l'autre à l'épreuve, on acceptera certainement partout le meilleur des deux systèmes.

    JACQUES. — Cela aussi, je le comprends. Mais, dis-moi, qu'est-ce donc que l'anarchie?

    PIERRE. — Anarchie signifie sans gouvernement.Je vous ai déjà dit que le gouvernement ne sert qu'à défendre les bourgeois, et quand il s'agit de nos intérêts, le mieux est de nous en occuper nous-mêmes. Au lieu de nommer des députés et des conseillers communaux qui vont faisant et défaisant des lois auxquelles il faut obéir, nous traiterons nous-mêmes nos affaires, et quand, pour mettre à exécution nos délibérations, il faudra en charger quelqu'un, nous lui dirons de faire de telle ou telle manière et non autrement. S'il s'agit d'une chose qui ne puisse pas se faire du premier coup, nous chargerons ceux qui sont capables de voir, d'étudier et de faire des propositions ; mais, de toute manière, rien ne se fera sans notre volonté. Et ainsi nos délégués, au lieu d'être des individus à qui nous avons donné le droit de nous commander, de nous imposer des lois, seront des personnes choisies parmi les plus capables, qui n'auront aucune autorité, mais seulement le devoir d'exécuter ce que le peuple aura ordonné ; en somme, on chargerait les uns d'organiser les écoles, par exemples, de faire les rues et de veiller à l'échange des produits, comme on charge aujourd'hui un cordonnier de faire une paire de souliers. — Voilà, en somme, ce qu'est l'anarchie. "

    source : http://kropot.free.fr/Malatesta-paysans.htm

    Il faudrait que je lise Lénine et Marx, enfin, avant de me faire une idée de ton propos. Et que je me renseigne sur l'histoire des soviets et ce qui a fait basculer tout ça dans l'horreur Etatiste et totalitariste.

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  • Jean Baltazar
    Jean Baltazar
    2015-10-06

    L'horreur..? en se basant uniquement sur ce que martèlent les dealeurs d’opinion? Alors, c'est comme ça qu'on vise à présenter le capitalisme comme un régime incontournable, le reste relevant du "totalitarisme" ou de "l'utopie". Dommage

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  • Cramazouk Hu Premier
    Cramazouk Hu Premier
    2015-10-07

    Pourtant c'est bien en lisant des papiers anarchistes que j'ai appris tous les tort du capitalisme d'état, et comment il réprimait justement les anarchistes et communistes qui sortaient du rang. Un régime qui nécessite la soumission ne sera pas bien meilleur qu'ils soit capitaliste ou socialiste, même si j'imagine que les conditions de vie de la majorité seront un cran au dessus dans le second cas.

    Ici c'est Emma Goldman qui le dit, pas des dealers d'opinion.

    Pour ma part j'ai toujours été anarchiste dans ma chair de toute façon, et je pense que c'est le cas de tous les anarchistes pour qui le pouvoir quel qu'il soit provoque une réaction épidermique.

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  • Jean Baltazar
    Jean Baltazar
    2015-10-07

    C'est bien

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