et les preuves que c'est pas sans nécessité :-/

Arf... c'est si difficile. A supporter d'abord. A comprendre et prendre du recul lorsque l'inégalité se transforme en une sorte de "maltraitance" qui oblige au combat. Et enfin, le risque le plus pervers, ne pas devenir une sorte de "femme qui emprunte les habits les plus laids de la masculinité"... Nos aînées sont bien souvent tombées dans et par ce travers... et, nous qui arrivons, devons subir la "double peine" de la part des "bien-pensants résistants" : l'inégalité et la rancune.

Très bon résumé de la situation actuelle.

Si le combat féministe n'est pas terminé, si les femmes ont gagné de nombreux droits (et c'est bien !) il ne faut pas non plus en effet tomber dans le travers inverse.

Finalement, ces féministes introverti(e)s annoncent la nouvelle vague féministe : le fait que les droits des femmes sont maintenant acquis, reste plus qu'à les maintenir, puisque ce que pointent ces feministes, c'est le fait qu'elles(ils) ne veulent plus du féminisme.

"les droits des femmes sont maintenant acquis, reste plus qu'à les maintenir"

Je n'irais pas jusque-là. Je dirais plutôt "il ne reste plus qu'à les faire valoir" sans que cela ne soit considéré comme un "combat féministe" mais comme un simple droit à la féminité...

J'ai rapidement constaté que les mots avaient leur importance car ils permettent de nous éclairer sur nous-mêmes et de faire connaissance avec les autres. Et bien, il existe le pendant au mot féminité, c'est la masculinité. Par contre, de mot "masculinisme", point.

Et si lorsque vous le lisez, ou pire le prononcez, vous le trouvez laid, que dire de ce "-isme" qu'on nous accroche comme une casserole lorsqu'on veut simplement être une femme et agir dans le monde en tant que telle.

\o/

Je dirais plutôt les maintenir au plan sociétal (avortement, libertés individuelles diverses...) car les femmes les exercent déjà pleinement, mais qu'ils sont toujours remis en question. Et par contre les revendiquer en actes également au niveau professionnel.

Et aussi s'assurer de ne pas abuser de certains droits desomais acquis...

D'autre part, je crois qu'il ne s'agit pas de pouvoir exercer sa féminité, mais plutôt son humanité. Vous n'êtes pas seulement des femmes mais aussi et surtout des personnes, avec les mêmes droits humains que les autres !

Ah l'humanité :-) Comme je suis d'accord, mais quelle vaste question... universelle :-) J'ai failli adjectiver "éternelle" par habitude d'association de mot... mais non, l'humanité, par essence, est mortelle mais aussi créatrice : l'homme engendre, la femme met au monde. Et passe le reste de son temps à se poser la question "quid de la poule ou de l'oeuf ... ?" :-)

C'est pas facile ... :-)

Je voulais juste mentionner les droits basique d'être humain, rien de plus :-).

Oui et finalement, c'est l'essentiel :-)

Oui... Comme j'aime cette pensée !